Università di Corsica Pasquale Paoli - Université de Corse Pascal Paoli
 

Presse

  • Masters : des cursus sélectifs axés sur l'insertion professionnelle
  • Corse Matin 16 juin 2010
  • Reconnu parmi les formations de pointe au niveau national, le master Sciences pour l'environnement, spécialité Systèmes énergétiques et énergies renouvelables (SEER), est devenu l'une des « vitrines » de l'université auprès des étudiants comme du monde de l'entreprise.<br />Photo : José Martinetti

    Reconnu parmi les formations de pointe au niveau national, le master Sciences pour l'environnement, spécialité Systèmes énergétiques et énergies renouvelables (SEER), est devenu l'une des « vitrines » de l'université auprès des étudiants comme du monde de l'entreprise.
    Photo : José Martinetti

    Avec la mise en place de la réforme LMD, en 2002, les maîtrises, DESS et DEA ont laissé la place aux masters. Mais ces nouveaux diplômes de niveau bac + 5, obtenus en deux ans, ont-ils réellement changé la donne pour les étudiants ? Même si tous les éléments d'appréciations ne sont pas encore disponibles, les premières statistiques réalisées pourraient porter à le croire.

    otamment destinée à harmoniser les formations au niveau européen, la naissance des masters semble en effet coïncider avec une tendance à la spécialisation et à la professionnalisation de ces filières de plus en plus sélectives. « Globalement, on constate que le nouveau système a permis d'intégrer un socle de compétences spécialisées et transversales au socle de connaissances fondamentales obligatoires, ce qui n'était pas forcément le cas par le passé », souligne ainsi Vincent Castola, le vice-président de l'université de Corse.

    Dès lors, si la majorité des étudiants en filières courtes choisissent de poursuivre leurs études une fois leur diplôme obtenu, ceux de master, en revanche, cherchent principalement à valoriser au plus tôt leurs qualifications sur le marché du travail. « Même si certains masters sont davantage orientés "pro", et d'autres "recherche", la distinction s'effectue surtout lors du stage de fin d'étude », précise le vice-président.

    « Pour avoir une idée, l'an dernier nous comptions seulement 15 stagiaires dans les laboratoires de recherche, sur une moyenne d'environ 150 inscrits en M2. Et cela ne veut pas dire non plus que ces 15 étudiants choisiront de poursuivre en doctorat... »

    La « méthodologie » comme valeur ajoutée

    Bien au contraire, la plupart des jeunes diplômés tentent donc de décrocher un emploi avec, force est de le constater, une indéniable réussite. Que ce soit dans des secteurs aussi variés que le bâtiment, les assurances, l'informatique, l'administration ou encore l'environnement, entre autres, les débouchés sont nombreux (lire par ailleurs) et plutôt rapides à trouver. Selon une étude effectuée auprès des 164 diplômés de master en 2007, près de 88 % d'entre eux étaient en activité au 1er décembre dernier, dont 71 % stabilisés en CDI, dans la fonction publique ou en professions libérales.

    Un taux d'insertion plus que satisfaisant, qui s'explique à la fois par « la grande adaptabilité de ces filières à la réalité des besoins du marché de l'emploi et leur spécificité qui les rend très attractives », précise Sylvie Graziani, la responsable de la plateforme d'insertion et d'orientation (SIO). Sur la vingtaine de masters répartis entre les UFR de sciences, lettres et éco-droit, certains se démarquent en ce sens par leur pérennité - comme dans le domaine de la gestion, par exemple - tandis que d'autres jouent la carte de l'exclusivité ou de l'innovation au niveau national, à l'image, notamment, des masters Cosmétique et Énergies renouvelables.

    Autant d'atouts qui font de ces cursus de véritables « vitrines » pour les établissements supérieurs, renforçant leur crédibilité, voire leur prestige, auprès des étudiants et des enseignants bien sûr, mais aussi des entreprises, désormais nombreuses à s'inscrire dans un partenariat suivi avec le monde universitaire. Le développement de l'alternance à ce niveau d'étude en est l'une des preuves. « Les employeurs ont besoin de ces profils particuliers, qui disposent de connaissances théoriques alliées à un vrai savoir-faire, note Vincent Castola. Mais ce qui donne selon moi une réelle valeur ajoutée aux diplômés de master, c'est qu'ils ont acquis une méthodologie qui leur permet de s'adapter à des exigences professionnelles parfois très éloignées de leur formation initiale ».

    Un plus dans une société mondialisée, où la rapidité de l'expertise fait figure de priorité.

  • Un master "vert" qui récolte les lauriers de l'excellence
  • Corse Matin 15 février 2010
  • Photo : José Martinetti

    Photo : José Martinetti

    Ouvert en 2004 sous la responsabilité de Philippe Poggi, le master Sciences pour l'environnement, spécialité Systèmes énergétiques et énergies renouvelables, figure aujourd'hui parmi les formations de pointe au niveau national, même si les débouchés restent insuffisants en Corse.

    Après cinq petites années d'existence, l'heure est à la consécration pour la spécialité Systèmes énergétiques et énergies renouvelables (SEER) du master Sciences pour l'environnement de la faculté des Sciences et techniques.

    Reconnue comme une formation de pointe au niveau national, la filière est régulièrement citée en exemple, à l'image d'un récent dossier du Monde de l'Éducation sur l'université, dans lequel elle figure parmi sept autres « masters d'excellence ». Une véritable « vitrine » pour l'établissement supérieur insulaire, par conséquent tenu d'affiner sans cesse ses critères de sélection. « En 2004, année de son ouverture, la première promotion comptait quatre étudiants, mais la notoriété croissante du cursus attire de plus en plus de candidats, qui sont tous retenus sur dossier, explique son responsable, Philippe Poggi. Si le concept parfois un peu vague de développement durable peut a priori séduire des profils excessivement variés, notre filière très technique s'adresse toutefois exclusivement à des scientifiques, titulaires d'une licence de physique, de mathématiques, de chimie ou encore d'électrotechnique. »

    L'atout de la « transversalité »

    Une fois inscrits, les « élus » sont en effet confrontés à un riche programme d'enseignements, allant de l'informatique à la météorologie, en passant par la production et le stockage d'énergie, le génie des procédés, la politique énergétique et la biomasse, entre autres. Une approche « globale » du domaine des énergies renouvelables qui constitue indéniablement la « valeur ajoutée » de la formation : « La spécificité de ce master tient dans sa transversalité, à savoir sa capacité à aborder tous les secteurs, confirme le responsable. Au départ, cela représentait un pari, mais depuis que d'autres masters spécialisés se sont créés en France, il est toujours le seul à disposer de cette singularité. »

    Bénéficiant de nombreux partenariats professionnels et institutionnels, tels que l'École des Mines, EDF, Météo France, la CCI de Corse-du-Sud, l'ONF, le groupe Raffalli ou Areva Hélion, par exemple, le master SEER peut également se targuer d'être labélisé par le pôle de compétitivité Capenergies. Une manière, aussi, pour ce cursus exigeant, d'affirmer son ambition d'être un véritable « moteur pour le développement économique. » Car, en dépit de son taux d'insertion de 65 %, comme du caractère porteur de la thématique environnementale, le diplôme peine encore à trouver suffisamment de débouchés en Corse. « La plupart des stages et des embauches de nos étudiants se font sur le continent, où les entreprises « vertes » fleurissent un peu partout, souligne Philippe Poggi. Il s'agit de le prendre en compte et d'évoluer en adéquation avec le marché du travail. »

    Des consultants, des ingénieurs d'études et d'affaires de haut niveau sont donc toujours plus nombreux à proposer leurs compétences, tandis que leur formation s'ouvrira bientôt à l'international et s'adossera par ailleurs au projet d'école d'ingénieur.
    L'assurance, sans doute, de maintenir en pointe ce diplôme plein d'avenir.

    Laure Filippi

  • Ces masters, vitrines des universités
  • Le Monde le 13 janvier 2010
  • Le monde propose un coup de projecteur sur des Masters de pointe de 8 universités françaises, dont le Master SEER

    Face aux entreprises en quête de bac +5 , les universités misent sur les masters pour accroître leur renommée.[...]

    Corte

    Master sciences pour l'environnement, spécialité systèmesénergétiques et énergiesrenouvelables

    Autonome depuis le début de l' année 2009, l'université de Corse profite de sa taille relativement réduite (4300 étudiants) et de sa position géographique particulière pour développer des formations dans le secteur émergent des sciences de l'environnement.
    Ainsi,la faculté des sciences et techniques de l'université Pascal Paoli propose depuis quelques années des masters spécialisés liés à l'environnementet au développement durable .Dans cette liste figure le master systèmes énergétiques et énergiques renouvelables (SEER).
    L'objectif du cursus est de « former des spécialistes compétents dans le domaine énergétique, et capables d'adapter ces aptitudes aux exigences des entreprises ». La formation s'appuie à la fois sur des stages obligatoires et sur les compétences scientifiques du pôle sciences physiques de l'environnement du CNRS. Outre les cours techniques, les étudiants disposent pour s'exercer d'un matériel haut de gamme composé de bancs expérimentaux solaire, thermique et éolien, et même d'une façade photovoltaïque. Première étape vers la reconnaissance : le master a été labélisée par le pôle de compétitivité Capenergies.[...]

  • L'Adec encourage l’esprit d'entreprise des étudiants
  • Corse Matin 19 novembre 2009
  • Ils sont plein d’avenir et d'entrain, ils ont une vingtaine d’années. Ces étudiants de l’Université de Corse sont des porteurs de projets. Hier, plusieurs d’entre eux étaient reçus à la Collectivité territoriale de Corse le temps d'une journée portes ouvertes sur le thème de l'innovation. Le but ? Sensibiliser ces dirigeants de demain à l'entreprenariat. Avec en filigrane, l’ambition d'éviter de délocaliser les futures sociétés hors de Corse.

    Des projets en incubation

    Le président de l’Adec, Ange Santini, a apprécié cette rencontre avec les étudiants de Corte,
notamment Christophe Biguenet, Loïc Bischeri et Anthony Gravini, porteurs de projets très distincts. <br />Photo : Photo Michel Luccioni

    Le président de l’Adec, Ange Santini, a apprécié cette rencontre avec les étudiants de Corte, notamment Christophe Biguenet, Loïc Bischeri et Anthony Gravini, porteurs de projets très distincts.
    Photo : Photo Michel Luccioni

    Pour les sensibiliser, l’Adec a imaginé de leur faire rencontrer des initiateurs de projets aboutis, relevant de « l’incubateur » technologique de Corse tels que celui de Christelle Léandri, dont le grand public a découvert la gamme de produits cosmétiques bio, l’été dernier (1).
    L'activité de cette jeune femme, docteur en chimie, est l'exemple même d’un concept en parfaite harmonie avec son environnement. Etablie à Belgodère où elle est soutenue  par la mairie, elle crée une gamme cosmétique à partir de cette plante endémique qu’est l’immortelle. Pour plusieurs d’entre eux, les contour de leur projet sont déjà bien dessinés.
    C'est le cas de celui d'Anthony Gravini, en licence pro entreprenariat, qui souhaite s’investir dans la filière nautisme dans son village de Luri. D’autres sont venus du continent suivre les cours de l’IUT en alternance, comme Christophe Biguenet, en master « systèmes énergétiques et énergies renouvelables ». Son projet « Développer l'entreprise au sein de laquelle je travaille en alternance dans le domaine des énergies renouvelables ».
    Comment rester insensible à l’esprit d’entreprise de ces jeunes gens ? Tout est fait pour les aider, comme l’ont rappelé les acteurs des dispositifs de soutien à l'innovation. Comme il le dit si bien, Ange Santini préfère « la logique de projet à la politique de guichet ». « Aussi, le conseil exécutif via l’Adec (agence de développement économique de la Corse) a lancé plusieurs initiatives en faveur de l’entreprenariat : le programme Corse esprit entreprise, le programme d’animations du territoire par des séminaires, avec la stratégie régional de l’innovation. »

    (1) Ecce Donna : mise en place d’une unité de production et de commercialisation d'une marque de cosmétique bio.

    Lucile Caïtucoli­-Ciattoni

  • Corse et Irlande travaillent sur l'hydrogène
  • Corse Matin le 13 septembre 2009
  • Vendredi, l'IUT de Corte recevait des invités pour le moins inhabituels. Environ 80 personnes, élèves et chercheurs, étaient en effet réunis pour une école d'été internationale dédiée à l'hydrogène et à la sécurité, organisée en partenariat avec l'université d'Ulster (Irlande), et financée par la collectivité territoriale de Corse, l'État et l'Union européenne.

    Photo : Jeannot Filippi

    Photo : Jeannot Filippi

    Dans le cadre d'un voyage d'une dizaine de jours, les doctorants, venus du Canada, de Finlande, d'Allemagne ou encore des États-Unis, ont présenté leurs travaux de recherche devant les professeurs accompagnants et quelques élèves de l'université de Corse, inscrits en master et en doctorat : « Le but de cette journée est triple. Elle répond à un double objectif pédagogique, à savoir montrer aux étudiants étrangers les travaux et formations réalisés à Corte, ainsi que montrer à nos étudiants ce qui se fait ailleurs. Le troisième objectif concernait plus directement la recherche scientifique puisqu'il s'agissait de présenter la plateforme recherche et développement sur l'hydrogène », précisait Philippe Poggi, responsable des masters énergies renouvelables et ingénierie écologique. L'autre idée, largement avouée par les participants, est de pérenniser la collaboration entre la Corse et l'Ulster : « C'est la 4e école d'été que nous organisons sur l'hydrogène, mais c'est la première fois qu'elle se déroule hors d'Irlande. Ces échanges avec les enseignants-chercheurs et les doctorants de Corse sont enrichissants car complémentaires. Le sujet est délicat, car au centre de nombreux débats, mais les questions de sécurité et de normes nous intéressent tous. La technologie et son utilisation doivent être sécurisées, et ce, dans l'intérêt de tous », soulignait à son tour Vladimir Molkov, professeur à l'université d'Ulster.

    Dès la fin de l'école d'été, mercredi 16, un congrès international sur la même thématique reliant hydrogène et sécurité se déroulera à Ajaccio jusqu'au 18 septembre.

    Sandrine Ordan

  • Table ronde sur les énergies renouvelables
  • Corse Matin le 31 octobre 2007
  • Après avoir inauguré le nouveau siège de la CCI de la Haute-Corse à Bastia, Nicolas Sarkozy a présidé une table ronde sur les énergies renouvelables. A ses cotés, avec le Président Femenia se trouvaient les ministres Christine Lagarde, Jean-Louis Borloo et Valérie Pécresse.

    Photo : Christian Buffa

    Photo : Christian Buffa

    Initialement prévue pour durer une heure, la table ronde sur les énergies renouvelables n'a même pas atteint le cap des 20 minutes, hier après-midi à la Chambre de Commerce et d'Industrie de Bastia. Vu le retard pris par la délégation ministérielle, Nicolas Sarkozy a décidé d'écourter au maximum cette rencontre. De fait, sur les dix-sept personnes qui entouraient le président de la République, cinq seulement ont pu prendre la parole. Les autres, qui avaient pourtant préparé de minutieux exposés, ont été dans l'obligation de ranger leurs dossiers comme Jean Charles Martinetti de la SEM Bis Energies, Michèle Pappalardo, présidente de l'ADEME, Jean-Paul Hautier, directeur général de .l'ENSAM, ou encore Patrick Bouchard, président de la société « Hélion ».

    L'exemple de "Capénergie"

    Après que Jean Femenia, président de la CCI de Haute-Corse, ait remercié Nicolas Sarkozy d'avoir inauguré le nouveau siège consulaire, c'est Ange Santini, le président du conseil exécutif de la CTC, qui est intervenu: « La Corse est la seule région à disposer d'un conseil énergétique; a-t-il indiqué. Elle s'est également dotée d'un schéma régional éolien. Notre île va désormais s'engager sur des objectifs chiffrés, notamment une réduction de 6 % des énergies importées dès 2013 et plus de 18 % en 2018. Des mesures accompagneront cette stratégie ».
    Avant les interventions du maire de Bastia Emile Zuccarelli et du président de l'université de Corse Antoine Aiello, la présidente de Capénergie, Pascale Amenc-Antoni, a démontré que ce pôle de compétitivité était vraiment un symbole de synergie réussie. Et Nicolas Sarkozy de préciser: « Avec plus d'une dizaine de projets labellisés, trois dépôts de brevet de niveau international et l'adhésion récente de Monaco et de la Guadeloupe, ce Pôle qui est le seul de France à avoir intégré la problématique insulaire dans sa stratégie, a donné le signe pour la Corse d'une ouverture nouvelle au monde ».
    Selon le président de la République, « la Corse ne mérite ni la résignation ni l'assistanat. Elle peut compter sur le gouvernement, notamment l'université qui joue un rôle capital ».
    Nicolas Sarkozy a alors demandé combien il y avait d'étudiants en médecine en première année ? Lorsqu'Antoine Aiello lui a répondu « 135, dont 18 mentions Très Bien », le visage du chef de l'Etat s'est éclairé et il a conclu: « J'en suis sincèrement très heureux car c'est là que réside l'avenir de la Corse ».

    Jean-Baptiste Croce

  • Un label pour le master énergies renouvelables
  • Corse Matin le 19 janvier 2007
  • Photo : Jeannot Filippi

    Photo : Jeannot Filippi

    Le master de la filière systèmes énergétiques et énergies renouvelables vient d'obtenir le précieux label « pôle de compétitivité ». « C'est une reconnaissance au plan national », précise le doyen de la Faculté des sciences, Raphaël Papi. En effet, les pôles de compétitivité, crées en 2005 regroupent dans un domaine, les compétences de chaque région. Les énergies renouvelables en comptent trois : Rhône-Alpes, Languedoc-Roussillon et PACA-Corse. Ce dernier, Cap Energie, regroupe entre autres, des industriels privés, EDF, l'école des Mines...). Pour la région, le pôle est piloté par l'ADEC et de nombreux partenaires tels l'ADEME y sont associés.
    Le master de l'Université est le premier du pôle a obtenir un tel label. Il a été délivré au terme de deux mois d'expertises. Tous les deux ans il sera ainsi réexamine. Pour les étudiants, il représente un atout supplémentaire, comme le souligne Philippe Poggi, responsable de la filière : « Le label sera mentionné sur les diplômes de la promotion 2007. Le master forme des étudiants prêts s'insérer dans les entreprises du secteur. II devrait leur offrir davantage de débouchés »

    Une licence professionnelle en projet

    La filière devrait également disposer de moyens supplémentaires. En 2004, année de sa création, le master systèmes énergétiques comptait six étudiants. Ils sont 28 à présent. « Le choix de mettre en place cette formation est le fruit d'une réflexion collective, avec les équipes de recherche notamment. »
    « Le projet s'inscrivait dans une logique de développement », poursuit Philippe Poggi. Des équipes qui travaillent sur des thématiques communes à celles de l'école des Mines de Paris, proposant un master du même type, en collaboration avec d'autres universités européennes. Dans le cadre de la labellisation, les deux écoles vont envisager des échanges pour les étudiants et les enseignants. Par ailleurs, un autre projet est à l'ordre du jour, comme l'explique le doyen Raphaël Papi : « Nous avons déjà une licence de physique. Nous souhaitons proposer une licence professionnelle, en collaboration avec l'IUT. La troisième année permettrait aux étudiants de se spécialiser et d'intégrer alors le monde du travail ».

    Sandra Carlotti

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